Les formations aident les étudiants à acquérir diverses compétences digitales. Cela passe par la maitrise des différents outils digitaux pour pouvoir par exemple créer un site web, analyser et gérer des données ou encore mettre en place des stratégies marketing. En marketing digital, les enseignements se veulent d’être à la fois divers et complets. Ainsi, les apprenants peuvent mieux appréhender et se familiariser avec les différentes techniques et processus utilisés en Web marketing.
Pour que les étudiants soient déjà opérationnels à la fin de leur cursus, les formations en marketing digital sont souvent alternées entre des cours théoriques et des pratiques. Les matières sont nombreuses et diversifiées à savoir : la culture web et digital, les techniques de communication digitale, l’UX Design et ergonomie web, le business plan, le développement web et mobile, les techniques de référencement, le SEO et rédaction web, la gestion de la relation client, la community management et bien d’autres encore.
Les débouchés concernant le marketing digital sont encore vastes. À l’heure actuelle, le développement commercial d’une entreprise dépend en partie du numérique. Il n’est pas étonnant que les professionnels en web marketing soient tant sollicités par les sociétés. Les étudiants sortant d’une école de marketing digital sont souvent amenés à élaborer une stratégie d’e-marketing afin de faire connaitre et promouvoir l’entreprise et son domaine d’activité. C’est pourquoi il n’est pas difficile pour les jeunes diplômés de trouver un poste qui leur correspond. Comme métiers, les diplômés peuvent être amenés à travailler en tant qu’assistant marketing, chef de produit marketing, directeur du marketing stratégique web, responsable marketing, SEO strategist, Social Media Manager, content manager…
]]>En effet, comment croire qu’il puisse y avoir encore certains de nos compatriotes qui ne comprennent pas grand-chose au système de la formation alors qu’il est mis en place dans beaucoup d’entreprises aujourd’hui ? Et pourtant, c’est bel et bien la réalité. Est-ce que cela démontre un désintérêt pour la formation ou bien qu’il manque d’information sur le sujet ? En somme, que pensent les Français des formations ? Voici les chiffres approximatifs : seuls 3 Français sur 10 estiment être bien informés sur les formations professionnelles. Presque 50 % ignorent tout sur le coût des formations, sur les qualifications des formateurs et sur les lieux de formation.
En dépit du fait qu’un grand nombre de nos concitoyens sont à ce jour peu informés sur la réalité des formations professionnelles, la plupart portent un regard positif sur celles-ci. Ce sont quasiment 80 % qui affirment que ces formations sont utiles, un peu plus de 80 % estiment que l’apprentissage est excellent si l’on veut progresser dans un domaine ou un autre, ou dans la vie en général. Quant au contrat de professionnalisation, ce sont plus de 60 % qui en pensent beaucoup de bien et ce sont plus de 75 % des Français qui seraient prêts à encourager un membre de leur famille ou un ami à suivre un cursus de formation si leur situation l’exige. Bien que tout cela soit positif, la majorité des Français disent que ce serait encore mieux si le gouvernement offrait plus de possibilités de formation à la population. D’un autre côté, ils trouvent que les budgets dédiés à la formation doivent être augmentés de manière significative (6 Français sur 10) et dans la tranche d’âge de 15-64 ans, ils sont presque 70 % à suggérer que la formation devrait être plus encouragée et présente dans la carrière des salariés.
Malgré le fait que la formation professionnelle soit mal connue par une bonne partie de la population, elle est populaire auprès des Français. Ce sont particulièrement les formations en alternance et l’apprentissage les plus connus de nos concitoyens, mais le CPF et les formations longue qualifiantes ou diplômantes sont les grands méconnus jusqu’à présent. Ils ne sont que 33 % à connaître l’aide individuelle à la formation et seulement 15 % à être au courant de l’action de formation préalable au recrutement. Peu connaissent les financeurs sectoriels même si les salariés du secteur privé identifient bien Pôle emploi et les Conseils Régionaux comme étant les financeurs de la formation professionnelle.
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